La chanson de la semaine se décompose et parle de la chanson que nous ne pouvons tout simplement pas sortir de notre tête chaque semaine. Retrouvez ces chansons et bien d’autres sur notre liste de lecture Spotify Top Songs. Pour nos nouvelles chansons préférées d’artistes émergents, consultez notre liste de lecture Spotify New Sounds. Cette semaine, The Black Keys nous rappellent pourquoi ils sont l’un des groupes de rock les plus fiables au monde.
Après la lettre d’amour de l’année dernière au Mississippi Hill Country Blues Delta Kream, Les Black Keys sont de retour en force. Cette semaine, le duo d’Akron, Ohio composé de Dan Auerbach et Patrick Carney a annoncé son onzième album studio, Boogie d’abandonet a partagé le premier single, le retentissant « Wild Child ».
Boog d’abandonie sortira le 13 mai, un jour avant le 20e anniversaire de leur premier album Le grand come upet après des incursions dans le psychédélisme et les reprises de blues des années 1950, il est clair que les Black Keys sont désireux de revenir à leurs racines populaires, le blues rock.
« Wild Child » est un hurlement entraînant influencé par le funk, avec la voix expressive et imposante d’Auerbach sous les projecteurs. La chanson oscille principalement entre seulement deux accords, mais The Black Keys peuplent chaque instant d’énergie, d’expérience et d’un air intouchable de cool. C’est un morceau qui fera sans aucun doute son chemin vers le haut des charts rock et alternatifs – non pas parce qu’il s’intègre bien dans le son actuel de la synchronisation centrée sur la radio, mais parce qu’il rappelle également leur apogée commerciale de leur chef-d’œuvre de 2010 Frères et 2011 El Camino.
Et dans l’ensemble, « Wild Child » représente le fait que les Black Keys ont encore beaucoup d’essence dans le réservoir – leur chimie ensemble est indéniable, et c’est leur étrange capacité à créer un son et une vision incroyablement cohérents du groupe de rien qui continuera à les soutenir tout au long de la décennie.
À la fin de la journée, tout ce que Dan Auerbach et Patrick Carney ont à faire est de s’asseoir et de jouer. Pour The Black Keys, cela suffira toujours.
— Paolo Raguse
Coordinateur éditorial