Cette fonctionnalité a été lancée à l’origine en août 2013, mais nous la dépoussiérons pour célébrer l’anniversaire de Paul Westerberg le 31 décembre.
Bienvenue dans Dissected, où nous démontons le catalogue d’un groupe, la filmographie d’un réalisateur ou toute autre collection critique de culture pop dans l’abstrait. C’est la science exacte en quelques bières. Cette fois, nous trions le meilleur et le pire des Trouble Boys préférés de tout le monde.
« De quel côté êtes-vous? » C’est la question séculaire que Paul Westerberg pose sur « Left of the Dial » de Tim. Bien qu’il ne parlait pas exactement à ses fans, il aurait tout aussi bien pu le faire. À l’époque, le barde de Minneapolis était déjà un pied dans la porte d’une autre nouvelle ère pour The Replacements, un chapitre polarisant qui verrait le groupe dire au revoir à leur blitzkrieg de punk de sous-sol arrosé et bonjour à un son plus attachant. C’était une évolution qui était déjà bien en marche, mais qui allait s’accélérer après avoir fait équipe avec Alex Chilton et introduit des cuivres.
Depuis lors, il y a eu deux côtés à la base de fans. Ceux qui préfèrent écraser des canettes à « Kids Don’t Follow » ou « Gary’s Got a Boner », et ceux qui préfèrent écraser des cigarettes à « Sixteen Blue » et « Darlin’ One ». Il y a bien sûr un entre-deux, comme c’est le cas avec n’importe quelle base de fans, mais les serre-livres polarisants doivent être abordés, en particulier lorsque vous regardez un classement.
Alors, de quel côté sommes-nous ? Nous sommes certes dans ce dernier camp, fredonnant «Talent Show» et «Valentine», bien que nous mentirions si «Takin ‘A Ride» ne nous permet toujours pas de continuer – et nous serions également idiots de rejeter tout cela.
— Michel Roffmann
Puer EP (1982)
Dos à dos: 8 titres / un maigre et très méchant 15:10
Enclos : Chris Mars, Bob Stinson, Tommy Stinson, Paul Westerberg, Police d’État de Minneapolis.
Il est parti… et s’est calmé juste une seconde : Il est en fait plus difficile de trouver une piste sur Puer où les ‘Mat n’ai pas devenu fou. La musique ralentit très légèrement pour le blanc et paresseux approprié « White and Lazy », mais même cela est de courte durée à la fin de la chanson. Vraiment, seul le titre « Go » pas si approprié est le seul morceau à mi-tempo. À part ces deux-là, préparez-vous à de profondes ecchymoses. Le groupe ne serait plus aussi rapide et furieux.
Tommy obtient son permis d’apprenti : C’est vrai, les enfants. Tommy Stinson n’avait que 15 ans au moment de Puer‘s enregistrement et sortie éventuelle. Le petit frère de Bob ne pouvait même pas fumer et boire avec le reste du groupe. Eh bien, du moins pas légalement.
« Est-ce que l’intégralité de Puer plus longtemps que « Dogs » de Pink Floyd ? » Non. Piste deux sur Floyd’s Animaux dure une minute et 54 secondes de plus.
Nombre de formes de « Fuck » dans « Fuck School » par rapport au nombre de formes de « God Damn » dans « God Damn Job »: 32 baise à 25 putains de dieu. * Il peut y avoir 34 baise dans « Fuck School », mais Westerberg crache ces mots si rapidement et il n’est pas toujours au micro, donc c’est sujet à débat. Merde.
Attendez, que voulez-vous dire par la police de l’État de Minneapolis sur l’EP ? C’est apparemment eux au début de « Kids Don’t Follow », disant aux enfants de se disperser lors d’un véritable spectacle de Remplacements.
Je déteste la musique : « Gimme Noise » est le dernier morceau et… j’allais dire comment c’est un exemple de la façon dont l’EP commence à se noyer dans la répétition avant que le groupe ne se retire, mais honnêtement, s’ils jouent ce live à Toronto, Denver ou Chicago ce année, le public va probablement devenir fou. Les chansons sont parties avant que vous ne le sachiez; trop inoffensif pour insister dessus.
Meilleure sortie : Le « Tu vas te marier » désapprouvé par Bob Stinson. C’est une démo solo de Westerberg à la guitare acoustique qui n’aurait jamais pu s’intégrer au reste de Puermais un précurseur des futures ballades de l’autre Sir Paul (ex : « Here Comes a Regular »).
Bière Moi : Le mix semble bon marché, mais utilisable pour le moment en attendant le plus gros travail à venir. S’il vous plaît, ayez un ruban bleu Pabst sur moi !
Analyse alias « Est-ce que ça Puer? » Une version polarisante pour les fans de remplacements de l’ère classique, et c’est compréhensible. Presque chaque chanson répète son titre des dizaines de fois avant la fin de ses deux minutes, et c’est une affaire bâclée et ivre. Pour certains, c’est génial. Pour d’autres, cela peut être agaçant. Comptez sur moi avec le premier. Ce qui sépare Puer de son prédécesseur, c’est que c’est fini bien avant que sa répétition ne devienne ennuyeuse. C’est juste bon, désordonné, amusant en 15 minutes.
—Justin Gerber