Les 5 meilleures choses que nous avons vues

Il y a quelques mois à peine, les Foo Fighters accueillaient de nouveau la musique live à New York avec leur spectacle au Madison Square Garden, et cela ressemble déjà à une éternité. Si c’était la guérison de la ville, le retour du Governors Ball est en plein essor à New York.

Le festival a lancé la célébration de son 10e anniversaire vendredi soir, attirant les foules de jeunes avides de musique à son nouvel emplacement à Citi Field. Le cadre du parking est loin de l’île de Randall à peine accessible des années passées, et franchement, c’est une bonne chose. Il y avait déjà assez d’anxiété à l’idée d’être à nouveau dans une foule aussi massive (vérifiés pour les vaccins et les tests négatifs bien qu’ils soient) sans se soucier de s’entasser dans un bus ou de manquer le dernier ferry pour quitter l’île.

Cette relative facilité par rapport aux années passées a certainement ajouté au sentiment que tout allait bien se passer. Bien sûr, il y avait toujours un certain chaos (vous mettez 50 000 personnes dans un festival de parking circulaire, vous allez avoir du désordre), mais le fait est que tout le monde a quand même réussi à s’en sortir. Un grand nombre de personnes ont pu se présenter devant plusieurs scènes remplies d’une variété d’artistes de premier plan; peu importe comment vous le coupez, c’est une victoire.

Et il y avait plein de victoires à faire. Des décors sauvages de Bartees Strange et du Portugal. The Man aux sons apaisants de Leon Bridges et à l’explosion émotionnelle des Future Islands, la journée a été remplie de bonne musique. Ça fait du bien de pouvoir revivre ça.

Poursuivez votre lecture pour découvrir les cinq meilleures choses que nous avons vécues lors du premier jour du Governors Ball 2021.

Ben Kaye

Directeur de la rédaction


Meilleur ensemble multi-genres : Bartees Strange

Bartees Strange Governors Ball Jour 1-1

Bartees Strange, photo de Perry Froelich

Bartees Strange a lancé le premier jour du Governors Ball avec un mélange éclectique de musique qui semblait résumer chaque genre représenté au festival. Qu’il s’agisse d’écraser des hymnes de rock alternatif comme « Mustang » et le tout nouveau « Weights », ou les coupes aux accents hip-hop et R&B des années 2020 Vivre pour toujours, Bartees Strange a livré sur tous les fronts, nous convainquant que le rock ne doit pas vivre et mourir par des jams de guitare. – Paul Raguse