Le groupe de K-Pop se pavane

Bienvenue dans Fan Chant, une chronique hebdomadaire destinée aux fans de K-pop, aux fans et aux débutants. Cette semaine, parlons du nouvel album de NCT 127. Comme toujours, si vous ne l'avez pas déjà fait, n'hésitez pas à vous abonner à ma newsletter complémentaire pour recevoir Fan Chant directement dans votre boîte de réception chaque semaine !


J'ai une théorie sur le nouveau clip de « Walk », la chanson-titre du dernier album de NCT 127 : Mark Lee marchant sur l'eau n'a pas été créé par des effets spéciaux. J'ai l'impression qu'il peut le faire.

Pour tous ceux qui cherchent encore à maîtriser l'univers expansif de NCT dans son ensemble (nombre actuel : 26 membres répartis en six sous-unités et équipes imbriquées), zoomons un instant. NCT 127 est l'unité composée des membres Taeyong, Taeil, Jaehyun, Johnny, Yuta, Doyoung, Jungwoo, Mark et Haechan. Même au sein d'un groupe expérimental, NCT 127 s'est imposé comme particulièrement intrépide ; dès le départ, ces gars se sont mis au travail pour identifier comment la « technologie de la néo-culture » pourrait vraiment sonner, en utilisant des rythmes, des pépins et des fioritures sonores extrêmement inventifs que vous auriez du mal à trouver ailleurs dans la K-pop.

Prenons par exemple « Superhuman » de 2019, où ce qui aurait pu être un hymne optimiste standard devient débordant d'énergie. Et en tant que partisan de « Sticker », je pense sincèrement que c'est la seule équipe d'interprètes qui aurait pu relever le défi de mettre en toute confiance une touche personnelle sur un morceau aussi déjanté.

Les gars sont maintenant là avec leur sixième album, qui les voit pleinement dans leur zone de frappe. Sur la piste de concentration, les scratchs du disque contrebalancent les voix engagées des chanteurs compétents de l'équipe. L'une des choses les plus amusantes à regarder NCT 127 jouer est le fait qu'ils n'ont pas peur d'adopter l'humour ou l'absurde ; entre les moments concentrés de la chorégraphie et de la performance dans le clip de « Walk », on trouve un glissement de terrain de bêtise.

À une époque où de nombreux albums de tous genres deviennent de plus en plus courts, il est rafraîchissant pour MARCHER pour un total de 11 titres complets. Il y a le ludique « Orange Seoul », débordant d'énergie nostalgique, tandis que « Gas » déborde de confiance. La sirène en arrière-plan de cette dernière chanson, qui imite une voiture qui dérape, est typiquement codée en 127. Pour tous ceux qui recherchent un point de départ pour ce groupe, MARCHER est là, juste à temps.

Regardez le clip de « Walk » ci-dessous et faites défiler pour découvrir l'album complet.


Chanson recommandée de la semaine :

Bien que ce ne soit pas ma chorégraphie préférée (ai-je tort ou ces vibrations ne correspondent-elles pas tout à fait ?), j'adore l'énergie et le son de KISS OF LIFE.