Plus tôt cette semaine, deux utilisateurs des médias sociaux ont accusé Justin Bieber d'agression sexuelle. Bieber s'est défendu, affirmant que les histoires étaient «factuellement impossibles». Maintenant, selon TMZ, il poursuit pour 20 millions de dollars de dommages-intérêts – 10 millions pour chaque histoire – pour diffamation.
Les deux victimes présumées passent par «Danielle» et «Kadi» en ligne. Danielle affirme que Bieber l'a violée le 9 mars 2014, dans sa chambre à l'hôtel Four Seasons. En réponse, Bieber a produit un reçu pour un Airbnb ce soir-là, où il affirme être resté avec sa petite amie d'alors, Selena Gomez. La pop star dit que Danielle a inventé cette histoire sur la base de rapports publics qu'il a mangé au restaurant Four Seasons le lendemain, 10 mars. Bieber a recueilli des preuves à l'appui de sa version de l'histoire dans une série de tweets le 21 juin 2020.
Quant à Kadi, elle affirme que Bieber l'a agressée à 2h30 du matin le 5 mai 2015, à l'hôtel Langham à New York. Cela aurait été après la conclusion du Met Gala, auquel Bieber admet avoir assisté. Mais le chanteur appelle ce récit «un canular élaboré» et prétend une fois de plus posséder des preuves documentaires contredisant l'histoire. Selon certaines sources, Bieber s'est rendu à une soirée privée jusqu'à près de 4 heures du matin, moment où il a été photographié en train de fréquenter un stand de hot-dogs. Pour cette raison, il affirme que l'assaut de 2h30 est une «impossibilité – une fabrication médiocre mais dommageable».
Sans autre preuve, il est difficile d'affirmer définitivement que l'altercation de 2h30 est en fait une «impossibilité» – après tout, les gens peuvent quitter et rejoindre les parties – bien que l'équipe juridique de Bieber ait trouvé une sorte de validation dans le propre fil Twitter de Kadi. Apparemment, Kadi a tweeté qu'elle n'avait jamais rencontré Bieber après la date à laquelle elle prétend maintenant avoir été agressée. Pour le moment, Bieber n'a pas rendu publiques ces preuves, et il est donc difficile de juger de leur véracité.
Le procès prétendrait que les deux comptes de médias sociaux sont en fait gérés par la même personne, ou à tout le moins, représentent une campagne coordonnée pour ruiner la réputation de Bieber.