Le pitch : Il est difficile de décrire exactement ce qui fait Je pense que tu devrais partir avec Tim Robinson tellement spécial. Le SNL alun, avec le co-créateur Zach Kanin et une phalange d’écrivains dont Patti Harrison et John Solomon, ont construit à ce jour deux saisons époustouflantes centrées sur la destruction de nos sens soigneusement élaborés et extrêmement fragiles du cool social et du piétinement eux.
Maintenant, ils sont de retour pour une troisième portion, avec six épisodes supplémentaires et près de trente croquis couvrant tout, de l’espace liminal de la réalité virtuelle, l’obligation écrasante de suivre la page de médias sociaux d’un collègue et le lien profond qui se crée entre les hommes qui viennent de porter la même chemise (« frères de chemise »).
Je suis vraiment contrarié : Comme d’habitude, le sketch inaugural de la saison donne le ton conceptuel de ce que Robinson et al font ici. Dans une version basée sur la réalité virtuelle Balayage de supermarché (hébergé par L’ours‘s Ayo Edebiri, l’une des nombreuses stars invitées bienvenues), Robinson enfile des lunettes de réalité virtuelle pour zapper dans le supermarché CG, pour oublier soudainement comment respirer dans ce nouveau monde.
Non seulement cela, l’expérience l’envoie dans une spirale existentielle sur la relation entre notre moi physique et métaphysique. « Comment pouvons-nous bouger nos corps ? » il réfléchit tranquillement. C’est à nouveau le sketch de la série de farces prothétiques sous couverture de la saison 2, le poids de notre existence physique étouffant quelqu’un à qui on vient de rappeler à quel point nos corps de sacs à viande sont vraiment fragiles.
À partir de là, c’est une cavalcade d’étrangeté, portée par un éventail de bizarreries de Robinson, soit jouées par l’homme lui-même, soit par l’un des nombreux invités. Connor O’Malley revient jouer sur son propre représentant en tant que comédien sur YouTube, maintenant en tant que cinglé collant qui s’effondre sous le poids qu’il s’est imposé pour «être drôle» devant un public d’un seul (Robinson) qui ne fait même pas veux suivre l’Insta du gars. Tim Meadows apparaît comme un père éreinté lors d’une réception de mariage défait par la pression de faire quelque chose de drôle avec les accessoires du photomaton : « Trois secondes pour penser à quelque chose de stupide ! Ce n’est pas assez de temps !
Mais qu’il s’agisse de Robinson ou de l’un de ses nombreux avatars, la série se délecte de son mélange habituel de slapstick loufoque (voir : le candidat à l’émission de téléréalité de Robinson, qui n’est pas là pour l’amour mais pour les commodités de la maison) et sonder subversivement nos insécurités et notre fierté ( l’animateur du débat qui se vante d’avoir sera commencez simplement à aller sur son téléphone quand il commence à perdre la dispute).