Ill RIVER-1er album-sortie le 24 février

L’album “A Tale To Tell”, est un concours de circonstances et de hasards : début 2016 Cary et Stéphane Bonacci (à l’origine guitariste de Melissmell et actuellement guitariste pour Tchecky Karyo) se mettent à écrire des chansons ensemble. Sans objectif de faire un album, simplement pour le plaisir de composer. Le groupe initialement formé autour du duo Cary & Aurélien Boilleau prend un grand virage artistique juste avant de rentrer en studio au mois de septembre. A la sortie, le projet n’était plus dans la continuité mais était devenu un projet musical à part entière. Les guitares acoustiques et les chœurs étaient assurés par Aurélien Boilleau qui depuis la fin des enregistrements a quitté le projet afin de poursuivre ses projets d’auteur compositeur et chanteur lead.

Habitant en Alsace depuis plus de vingt ans, Cary  Brown s’est mis à nu sur ce projet et a voulu que ce projet musical soit rugueux et harmonique à la fois. Les arrangements sont astucieux, subtils et imaginatifs. Les prises de son étaient assurées par Jean-Marc Hauser, l’ingé son de Hubert Félix Thiéfaine et de bien d’autres grandes vedettes françaises. Sur scène, on retrouve Jérôme Wolf à la basse, Aurélien Troesch à la guitare acoustique et chœurs, Manu Boch aux orgues et piano et Jérôme Spieldenner (aussi membre original de Melissmell) à la batterie. Avec autant de talents, ce nouvel album ne pouvait être qu’incroyablement efficace et sensible.

Cary a écrit les textes pour exprimer au mieux sa liberté vocale et d’expression. Le nom du groupe vient de la rivière Ill qui traverse l’Alsace. Ill River, un rock classique emmené par des titres superbes comme Smile of the picture ou Lucky Guy qui me font penser au Boss (Bruce Springsteen). Cary et Stéphane ont voulu enregistrer  l’album avec un son qui se retrouvera sur scène. Les chansons ont été enregistrées  en basse, guitare voix et batterie en même temps, ce qui donne ce côté live. Avec “A tale to tell”, découvrez 10 titres d’un folk/rock US authentique et implacable que l’on avait presque oublié. Merci à Ill River.

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