Gardien aveuglele dernier album de 2019 Héritage des Terres Sombresétait un long album orchestral crédité au Orchestre du crépuscule des gardiens aveugles. Pour leur douzième album studio La machine divine le groupe de power metal allemand vétéran est allé dans la direction opposée. Il s’agit davantage d’un effort ciblé et rationalisé, la première fois depuis 2006 Une torsion dans le mythe ils ont gardé la longueur de l’album à moins d’une heure.
Chanteur Hansi Kurschl’un des trois membres du groupe qui sont là depuis la création du groupe en 1987, dit qu’ils savaient qu’ils ne pouvaient pas pousser le côté orchestral de Gardien aveugle pas plus loin. Il dit : « La nouvelle directive tout en créant La machine divine était assez simple mais toujours aussi bienvenu : moins d’orchestration, plus de punch. »
Le résultat est un album qui conserve certains des styles d’arrangement et des chœurs des dernières sorties (il a dit moins d’orchestration, pas pas d’orchestration) tout en rappelant leurs débuts en termes d’agressivité et d’impact. Ils reviennent aux sources et revisitent certaines des inspirations de leurs albums de jeunesse tout en conservant la profondeur et la complexité affinées au cours des dernières décennies.
Le coup de poing qui Kursch dont parle est là depuis le morceau d’ouverture « Deliver Us From Evil », accompagné d’un solo de guitare mordant et d’une atmosphère qui augmente sans être écrasante. De nombreuses autres chansons de l’album mettent également l’agressivité au premier plan, comme « Violent Shadows », qui offre des riffs thrash et une puissante performance du batteur. Frederik Ehmke. « Blood of the Elves » est un autre numéro intense avec de petites doses de voix dures contrastant avec Kursch’s la montée en flèche du chant et les chœurs.
Gardien aveugleLe côté plus épique de est également exposé. « Secrets of the Gods » est le morceau le plus long de l’album avec plus de 7 minutes. C’est une construction lente avec un bon équilibre entre les guitares et l’orchestration, chacun prenant la tête à différents moments. Closer « Destiny » a une structure similaire, mais est encore plus dramatique, parfois trop, franchissant parfois la ligne du mélodrame.
« Life Beyond the Spheres » fait un meilleur travail en chevauchant cette ligne, embrassant l’ambition de l’arrangement. Il parvient à être audacieux, grandiose et divertissant sans devenir ringard. « Architects of Doom », au rythme modéré, est l’une des chansons les plus accrocheuses de l’album, avec la ballade « Let It Be No More » encore plus mémorable.
Un album comme celui-ci ne doit pas être facile à produire, mais Charlie Bauerfeindqui a travaillé avec Gardien aveugle sur chaque album studio depuis 1998 La tombée de la nuit en Terre du Milieu, a tout compris. Il sait comment mélanger la lourdeur et l’atmosphère dans un disque au son clair et poli.
La machine divine devrait plaire aux fans de nombreuses époques de Gardien aveugle. Il honore leur passé sans y vivre et met l’accent sur les éléments qui ont bien fonctionné pour eux sur les versions plus récentes. C’est un album bien équilibré et interprété de manière experte qui montre pourquoi ils ont été l’un des groupes de l’échelon supérieur du power metal pendant longtemps.